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 Face à la presse : Jean-Michel Giraud contre-attaque

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coachmadatennis
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MessageSujet: Face à la presse : Jean-Michel Giraud contre-attaque   Face à la presse : Jean-Michel Giraud contre-attaque EmptyLun 22 Juin - 10:30

dans Week-end du 21 juin 2009

source : http://www.lemauricien.com/weekend/

Citation :

Tennis - Face à la presse mardi dernier


Jean-Michel Giraud contre-attaque



Comme annoncé dans notre édition de la semaine dernière, Jean-Michel Giraud a convié la presse, mardi au siège de la United Basalt Products à Trianon, pour faire part de ce qu'il appelle " sa part de vérité. " L'ancien président de la Mauritius Tennis Federation (MTF) et trésorier démissionnaire de celle-ci, était entouré de Denis Lincoln, Hugues Charoux, Edley Michaud, Véronique de Spéville, tous membres démissionnaires ainsi que l'ancien entraîneur fédéral, le Français Régis Courtois.

D'emblée, Jean-Michel Giraud dira que la décision de démissionner a pu sembler venir suite à un coup de tête mais que c'est la façon de faire du président Akhtar Toorawa qui en est la raison. " Akhtar Toorawa a été choisi pour assumer la présidence malgré son caractère infernal parce qu'il est dévoué. Mais à titre personnel, j'ai joué au pompier car Akhtar a eu des problèmes avec Ace Tennis, puis dans le cas de la sélection U12 pour la tournée en Afrique du Sud, il n'était pas d'accord avec les décisions du comité technique, il a fait un programme d'entraînement qui ne correspondait pas à ce que les coaches pouvaient faire. Il a ensuite dit aux parents que les coaches étaient d'accord avec ce plan alors que ce n'était pas le cas ", dira Giraud. Ce dernier ajoute que Toorawa interférait de manière permanente dans le travail du comité technique (CT).

Mais la goutte qui a fait déborder le vase, dira Giraud, est la manière dont Toorawa a traité Régis Courtois lors d'une réunion du CT le 2 juin dernier.

" Akhtar Toorawa a été invité à donner une explication sur les propos qu'il a tenus à Régis Courtois et que même des membres du comité présents dans le parking ont entendu. Mais le président a refusé de prendre l'ordre du jour. Il n'était plus possible pour nous de travailler dans ces conditions ", déclare Giraud pour expliquer la raison de la démission en bloc du jeudi 11 juin.

Jean-Michel Giraud a aussi reproché à Toorawa de remettre des documents " privés " à la presse, faisant référence au contrat qui lie la MTF à la compagnie privée Ace Tennis et le contrat de travail de l'ancien Directeur Technique National (DTN), Sébastien Papama.

" Tout le monde a participé aux discussions et était au courant de ce que proposait Fabrice Péroux avec son projet, Ace Tennis, en juillet 2007. Le contrat était accessible à la fédération et tout le monde y avait accès. Akhtar Toorawa était le seul à avoir des réticences mais la majorité l'a emporté ", indique Giraud. Exhibant une interview que Toorawa a donné au quotidien l'express le 7 mai 2009, Giraud dira " dans cette interview, Akhtar Toorawa se dit favorable à Ace Tennis. "

" La MTF a délégué certaines responsabilités à l'entité privée qu'est Ace Tennis qui paye un loyer à la fédération. Cela se fait dans le monde entier. Le rôle d'une fédération est de faire la détection, d'assurer la formation et de s'occuper du haut niveau. Il n'y a pas suffisament de structures tennistiques à Maurice, alors il a fallu apporter des idées nouvelles. Avant de signer l'accord avec Ace, c'est la MTF qui faisait tout cela mais on arrivait pas à boucler le budget. Même dans des pays ayant de gros moyens, les meilleurs joueurs sont issus de strutures privées. Notre partenariat avec Ace a marché de manière remarquable ", soutient Giraud.

Confronté à ce que dit l'article 6 du contrat de bail signé par la MTF en avril 2003 avant la mise en place du centre national à Petit Camp et qui dit que " the lessee (MTF) shall not assign or sublet the whole or any part of his interest under the lease without the express permission in writing of the lessor (State of Mauritius, The MHL) ", Jean-Michel Giraud allait d'abord se montrer évasif avant de répondre. Sur un ton agacé, il répondra : " Je n'ai besoin de demander la permission à personne ", reconnaissant qu'il n'avait aucune permission écrite de l'État mauricien pour louer les courts de Petit Camp à Ace Tennis. " La MTF loue des heures de tennis à Ace Tennis qui n'occupe que 21% en terme de volume horaire sur les courts ", précise-t-il pour tenter de se justifier.

Abordant le cas de l'ancien Directeur Technique National (DTN), Sébastien Papama, Jean-Michel Giraud dira qu'Akhtar Toorawa était prenante de la décision de ne pas conserver le technicien à son poste. " Sébastien Papama a eu un comportement incorrect. On a eu une réunion informative avec lui et ensuite, Akhtar Toorawa l'a convoqué à un comité disciplinaire auquel il ne s'est pas présenté. On l'a payé jusqu'à la fin de ses congés maladie et c'est tout ", dira Giraud qui ne trouvait pas utile de s'étendre davantage sur la question.

Intervenant à un moment, Véronique de Spéville dira qu'Akhtar Toorawa a, un jour, déclaré qu'aucune joueuse (mauricienne) n'atteindra le niveau de Marinne Giraud. Interrogé à ce propos, Toorawa a reconnu avoir déclaré cela mais il a, toutefois, précisé que sa phrase n'avait pas été rapportée en totalité par Véronique de Spéville. " Je l'ai dit c'est vrai mais la phrase complète était : Aucune joueuse n'atteindra le niveau de Marinne Giraud si on continue avec les entraînements prodigués actuellement et même si on les paye plus cher ", a précisé Toorawa qui a ajouté que la phrase a été tirée de son contexte.

Giraud a également révélé que plusieurs sponsors ont signifié leur intention de mettre un terme à leur collaboration avec la MTF à cause de la crise actuelle. " On a pris 8 ans pour construire quelque chose et voilà qu'en deux mois, Akhtar Toorawa a tout détruit ", soutient Giraud qui néanmoins est prêt à reprendre en mains la MTF pour la remettre sur les rails…

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MessageSujet: Re: Face à la presse : Jean-Michel Giraud contre-attaque   Face à la presse : Jean-Michel Giraud contre-attaque EmptyDim 13 Déc - 23:11

CE 13 DECEMBRE 2009 DANS WEEK-END

SOURCE : http://www.lemauricien.com/weekend/

Citation :

Tennis - Face à la presse


Giraud répond à Hao Thyn Voon



Comme il l'avait annoncé précédemment, Jean-Michel Giraud a rencontré la presse pour démentir ce qu'il considère comme les contre-vérités avancées par le président du Comité National Olympique Mauricien (CNOM), Philippe Hao Thyn Voon. De retour à la présidence de la Mauritius Tennis Federation (MTF), Giraud maintient, de plus, que l'assemblée générale élective de cette dernière s'est déroulée conformément aux lois du pays. Jean-Michel Giraud - qui avait à ses côtés Mike Wong et Jean-Marie Min Fa - a aussi déploré le fait que Philippe Hao Thyn Voon ait refusé de répondre à ses questions lors de la rencontre entre le CNOM et les présidents de fédérations le 1er décembre dernier.

Réfutant les dires de Hao Thyn Voon à l'effet que la fédération n'est pas enregistrée sous le nom de Maurtius Tennis Federation et que la Mauritius Lawn Tennis Association (MLTA) a été dissoute en 2001, Giraud avance que : " Nous avons formulé une demande au Registrar pour un change of name. Le Registrar a recommandé que nous fassions une demande au Prime minister's Office (PMO). Le 24 septembre 2001, le PMO nous a donné son approbation. Nous avons fait ce qu'il fallait. Le président du CNOM a cité un certain nombre de fédérations qui sont dans la même situation mais que je sache, il n'a pas demandé à ce que leurs élections soient annulées. "

Pour le président de la fédération de tennis, il est inexact de dire que la MTF a éclaté à cause de Ace Tennis, compagnie privée spécialisée dans l'enseignement du tennis. " La fédération a éclaté à cause du comportement de l'ancien président (ndlr : Akhtar Toorawa) vis-à-vis de l'entraîneur (Régis Courtois) et des autres membres du comité de l'époque ", soutient Giraud.

Ce dernier n'est pas d'accord avec les dires du président du CNOM au sujet du travail accompli par le ad-hoc committee qui était présidé par Giandev Moteea. " Le président du CNOM parle de maldonnes commises par le ad-hoc commitee, concernant l'enregistrement des clubs. Il dit que 4 clubs n'ont pas obtenu d'affiliation mais je peux affirmer qu'il n'y qu'un seul et unique club qui n'a pas reçu d'affiliation, le Renard SC. Le Renard SC est, semble-t-il, un club de body-building et avait vu sa demande d'affiliation à la Fédération mauricienne de Natation (FMN) être refusée dans un passé pas trop lointain. Fallait-il admettre ce club dans le tennis ? Est-ce que ce club n'est pas fictif, du moins en ce qui concerne le tennis et la natation ? Je me demande pourquoi le président du CNOM insiste pour que ce club soit affilié ", ajoute Jean-Michel Giraud.

Ce dernier a rappelé que le ad-hoc commitee est allé vers Rodrigues avant de lancer les préparatifs des élections et qu'aucune réponse n'a été obtenue.

Jean-Michel Giraud a également affirmé que le président du CNOM n'a, à aucun moment, suggéré le nom de Dominique Ah Cheong à son comité, avant de le nommer pour faire partie du ad-hoc committee.

Abordant l'assemblée générale élective de la MTF, Jean-Michel Giraud a indiqué que le ad-hoc committee et le ministère de la Jeunesse et des Sports (MJS) ont agi conformément aux lois du pays, dans la forme et dans l'esprit. " Malgré toutes les précautions prises pour l'organisation des élections, Philippe Hao Thyn Voon trouve moyen de venir dire qu'il ne reconnaît pas la fédération. Selon mes renseingnements, le comité du CNOM ne s'est jamais prononcé sur la reconnaissance des élections, il s'agit d'une démarche personnelle du président ", déclare Giraud.

Celui-ci poursuit en évoquant la venue de l'émissaire de l'International Tennis Federation (ITF), le Sud-Africain Johann Koorts qui est également, le trésorier de la Confédération Africaine de Tennis (CAT).

" J'apprends que le président du CNOM a écrit à l'ITF pour demander à ce que Johann Koorts ne vienne pas à Maurice alors qu'il avait lui-même demandé à l'ITF de déléguer un représentant auparavant. Cette lettre envoyée à l'ITF ne porte ni la signature du secrétaire général ni celle du secrétaire administratif mais celle du président lui-même. Est-ce que les autres membres du CNOM étaient au courant de cette démarche ? Mais en ce qui nous concerne (ndlr : le comité de la fédération de tennis), nous souhaitons vivement que Johaan Koorts vienne à Maurice. Nous lui expliquerons comment fonctionne la fédération. Nous sommes absolument sereins ", indique Giraud.

Ce dernier a déploré le fait que Philippe Hao Thyn Voon ne lui ait pas permis de poser des questions lors de la rencontre CNOM-présidents de fédérations au Labourdonnais Court, le 1er décembre. " Le président du CNOM a refusé de répondre à mes questions en avançant que ce n'était pas à l'agenda et qu'il fallait avoir déposé les questions le 25 novembre au plus tard. Mais il m'aurait été difficile de le faire vu que j'avais été élu président la veille. Il a écourté la réunion et s'est retiré très vite ", s'est-il offusqué.

S'agissant du point avancé par Philippe Hao Thyn Voon à l'effet que la fédération n'a pas démocratisé le tennis et que les tarifs réclamés par Ace Tennis sont trop élevés, Jean-Michel Giraud a fait ressortir qu'il est connu que le tennis de haut niveau coûte cher. " Un joueur doit faire un minimum de 30 tournois par an, ce qui fait qu'il doiut payer 30 semaines d'hôtel, des billets d'avion, sans compter les entraînements, les raquettes, le cordage et d'autres équipements. Il me semble que Philippe Hao Thyn Voon ait une idée assez vague de ce qu'est le tennis de haut niveau ", observe Jean-Michel Giraud.

Pour conclure, celui-ci a tenu à saluer le ministre Devanand Ritoo, pour sa façon de gérer le sport mauricien.


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